Qu'une loi soit introduite qui fera en sorte que la télévision québécoise transmette une programmation qui soit d'origine québécoise à 90%, ceci stimulera la création d'émissions.
Que soit autorisée une loi avec le mandat de rendre obligatoire des cours de diction pour bien parler le français aux présents animateurs (trices) des médias : télévision, radio, presse écrite et électronique. fl ne faut pas oublier la portée de l'influence que ces gens ont sur nous et nos enfants.
Que l'histoire du peuple québécois fiançais et ses racines soit enseignée dans les écoles dès la 3e année scolaire (primaire), ceci au plus tôt. Que la revanche des berceaux par les conquérants après la conquête de la colonie française et son impact sur la francophonie soient inclus au programme.
Que le gouvernement présent introduise une loi pour arrêter définitivement les commerciaux faits pour nous à l'étranger par des acteurs (actrices) étrangers (ères) et qui sont traduits en français, n ne faut pas oublier que nos acteurs (actrices) vont bientôt passer de minoritaires sur la sécurité sociale à majoritaires si une loi dans ce sens n'est pas faite et appliquée au plus tôt, sinon nous Qes payeurs de taxes) allons encore payer la note.
Qu'un Québec souverain se dote d'un ministère des arts, ceci dès sa première armée d'un Québec pays, ainsi qu'un site net exposant toutes les formes d'art du Québec, les coordonnées des galeries, leurs activités et festivités.
Articles tirés du journal des souverains de coeur
La coupe Stanley à Montréal, pas pour demain
Dans un grand quotidien francophone, fl y a plusieurs années, avant même la première expansion on pouvait lire que les États-Unis écrivaient que cela ne dôme rien d'enlever un bon joueur au Canadien de Montréal ils vont s'en trouver un autre en sol québécois.
La solution trouvée et mise à F exécution par les États-Unis pour vider le Québec de ses joueurs avec sans doute la complicité d'Ottawa, c'est de taire une expansion tout en pesant sur le mot ouverture d'emplois dans la LNH pour les joueurs québécois, et si ce ri est pas assez nous (les États-Unis) ferons une deuxième expansion, ce qu'ils ont fait En faisant de la sorte, ils se sont appropriés nos joueurs tout en contrôlant te sport national des québécois, ils ont fait une entrée d'argent supplémentaire chez eux (concession etc.).
Ottawa, avec son organisme de contrôle appelé CRTC, a arrêté la diffusion des parties de hockey en français sur sa télévision dite nationale Radio Canada, tout en continuant de dire qu'il représente bien la nation québécoise. Avec toutes ces actions voici des conséquences pour les États-Unis: rentrée d'argent, enlever les bons joueurs au Québec pour Ottawa stimuler l'assimilation des francophones du Québec, augmenter la fierté fédéraliste au Québec, ne plus diffuser le sport national des québécois en français, et pour nous au Québec perte de nos citoyens francophones et souverainistes, perte de nos talents que nous avons payé très cher et fait beaucoup de sacrifices, sorties d'argent hors Québec, payer pour la construction d'un amphithéâtre et plus cher de taxes, et aux dires du président de la Ligue Nationale (Gary Bettman des États-Unis): un amphithéâtre était un pré-requis, et aujourd'hui un nouvel aréna n'est pas un gage certain pour une concession.
Solution: que la Caisse de dépôts et de placements, qui est le bas de laine des québécois, prenne une part majeure dans l'amphithéâtre et la concession pour pouvoir contrôler l'embauche de joueurs québécois, le prix de vente des objets et des billets d'entrée aux différents spectacles.
Voyons aujourd'hui le nombre de québécois dans la Ligue National
LNH : 78 joueurs francophones, dont 52 Québécois
L'entreprise privée, la culture en prend pour son rhume
Le gouvernement fédéral, celui du Québec, la mairie de la ville de Québec, tous abondent dans le même sens à propos de l'amphithéâtre, il faut du privé. On s'entend que l'entreprise priée est là pour faire de l'argent, ce qui veut dire qu'elle (l'entreprise privée) va refiler le coût de son investissement dans le coût de production de ses marchandises vendues au consommateur, en plus d'une déduction d'impôts. Que le consommateur ne s'attende pas d'avoir un prix raisonnable, basé sur le coût de là vie, pour accéder à un événement.
C'est là que la culture en prend pour son rhume. L'entreprise qui est là pour faire de l'argent, tient la porte ouverte au plus offrait. Cela fait l'affaire des politiciens fédéralistes influents, contre les trois personnages nommés ri-haut Ceci accélère F assimilation par le fédéral, et tait oublier au peuple québécois sa propre culture francophone: la conséquence au privé: le Centre Bell à Montréal, le prix tf entrée pour le hockey ou tout autre spectacle ne suivent le coût de la vie. Il y a eu plus de 50% d'artistes anglophones dans la derrière armée 2009 et 2010 s'annonce pire. Le répertoire de certains québécois francophones est unilingue anglais. Quelle belle représentation de culture francophone québécoise à l'étranger.
Que le Québec fasse un appel d'offre pour la construction de l'amphithéâtre, l'entretien etc. Comme cela nous allons contrôler la culture francophone québécoise, l'épanouissement du talent québécois, ainsi le prix d'entrée sera basé sur le coût de la vie, et donnons à tous nos établissements culturels le nom d'un de nos ancêtres qui se sont illustrés pour le peuple du Québec: LaVérendrye, Messier, Chénier, Deslormiers, pour en nommer que quelques-uns.
La Caisse de dépôts et déplacements qui a été rrise sur pied, était pour stimuler l'‘économie et le social du peuple québécois. Servons-nous du levier économique que nous nous sommes dotés, contrôlons notre culture et gardons le prix abordable pour encourager le talent de chez-nous. N'oublions-pas que le chemin le plus court entre deux points, est la ligne droite. Ne laissons pas le levier économique ainsi que les décisions finales entre les mains des gens qui résident hors Québec.
Que le gouvernement introduise une loi québécoise interdisant toute compagnie inc., ltée ou eng. ou individus en sol québécois de faire des levées de fonds utilisant des chansons autres qu'en français du Québec ou la vente d'articles fabriqués à moins de 51% au Québec.
Que le gouvernement introduise une loi québécoise, qui fera en sorte que toute invention faite au Québec porte un nom québécois français.