Ensembles pour convertir les voitures à l’électricité
Dans un Québec indépendant, le Québec pourrait octroyer des subventions non imposables pour le premier achat d'une voiture faite chez nous ou assemblée à un pourcentage respectable ou pour convertir des voitures à essence à hybride ou à 100% électrique jusqu’à l’ordre de 25%
Selon M.Pierre Thisdale le réseau d'Hydro-Québec peut supporter actuellement plus de 150000 voitures, alors les achats et les conversions pourraient à elles seules rentabiliser un tel projet.
II ne faut pas oublier que la société Hydro-Québec verse au gouvernement actuel la somme de plus de $1 milliard annuellement. Dans un Québec pays qui subventionnera des voitures à l’ordre de 25%, celles-ci consommeront rapidement ce montant en électricité et au court des ans Hydro-Québec et le gouvernement en sortiront grandement gagnants.
En revanche, l’économie du Québec serait en nette progression, avec des ventes d’hydroélectricité à la hausse, des usines à la grandeur du Québec pour la fabrication de pièces (Gaspédia en Gaspésie pour l’assemblage de voitures électriques, ainsi que Magnolia Asbestos, Hyundai à Bromont et bien d’autres inconnues).
II faut comptabiliser les emplois crées ici au Québec pour la fabrication et l'assemblage ainsi que la conversion avec la vente à l'étranger, la rentrée économie sera astronomique.
Le pays du Québec, par ses voitures, sera un exemple mondial pour la préservation de son environnement et moins dépendant à l'énergie fossile..
Des garages certifiés qui feraient de la conversion et des services d’entretien, incluant la vente d’électricité (220 amp.) pour un rechargement rapide, incluant une usine de fabrication de voitures et des usines d’assemblage et de fabrication de pièces partout sur le territoire québécois. Ceci créerait beaucoup d’emplois rémunérés à tous les niveaux. Nous avons l’argent, le vouloir, le pouvoir et les infrastructures, il nous manque la volonté politique, mais il faut être maîtres chez nous (indépendance).
Voici des bonnes façons d’utiliser nos surplus d’électricité ainsi que réglementer la structure de notre fleuron national, Hydro Québec.

