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Sp�cial �lections 2003 |
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Votons massivement pour le Parti Québécois notre
véhicule
L'ADQ veut des votes dans les comtés en élection,
mais en faisant de la sorte il favorise le parti libéral,
celui même qui a fraudé l'élection dans le comté
d'Anjou en 1998, et qui a fait payé les québécois
et québécoises en taxes $3/4 de million et a provoqué
une élection complémentaire de $500,000.00 en 2002
dans ce même comté.
Tout laisse croire qu'une entente entre l'ADQ de Mario Dumont et
le parti libéral de Jean Charest augmentera le vote pour
l'ADQ, favorisera la victoire de parti libéral au détriment
du PQ. qui glissera à la deuxième ou troisième
place, en laissant au rancart l'option souverainiste.
Cela laisse sous-entendre que l'ADQ de Mario Dumont support le
parti qui a fraudé tous les québécois et québécoises
à l'élection de 1998 dans le comté d'Anjou.
Il accorde son consentement à la dépense de $500,000.00
pour une élection complémentaire dans celui-ci.
En emmenant sa manière de penser et d'agir au Québec,
Jean Charest a fait payé les québécois et québécoises
des taxes pour plus de $3/4 de million pour une fraude électorale
dans le comté d'Anjou et occasionné une élection
complémentaire au coût de $500,000.00 en 2002 pour
un total de $1,250,000.00 qui aurait été le bienvenu
dans notre système de santé. Nous aurions pu utiliser
cet argent pour former des étudiants en technique infirmière,
en les payant en milieu de travail, etc.
Jean Charest, chef du parti libéral du Québec, présente
des candidats et candidates dans tous les comtés. Ces candidats
et candidates ne savent pas que leur chef est opportuniste. Avant
qu'il devienne chef de cette formation, il avait acheté une
maison de $500,000.00 à Ottawa en 1996, qu'il demeure à
Westmount sur l'île de Montréal, qu'il s'est parachuté
dans le comté de Sherbrooke, qu'il a fait une risée
de notre démocratie et une moquerie du parti libéral.
N'oubliez-pas qu'une personne qui vote pour l'ADQ, qui ne va pas
voter ou qui annule son vote, favorise le parti libéral de
Jean Charest, avec toutes ses atrocités, exemple: moquerie
de notre démocratie, laisse le fédéral nous
exploiter à sa guise en utilisant sa structure, nous dit
qu'il protège nos intérêts, nous laisse sous-entendre
que nous sommes une société distincte.
Jean Charest, chef du parti libéral du Québec auparavant
chef du parti conservateur, disait devant la Confederation Club
d'Ottawa, qu'il refus le statut particulier au Québec.
ASSEZ, C'EST ASSEZ. Votons pour notre véhicule le Parti
Québécois. Voter pour le Parti Québécois
c'est voter pour soi.
Téléphonez aux comtés en élection pour
leur demander de faire sortir le vote. Si vous avez de la parenté
ou des connaissances dans ces comtés, contactez-les et dites
leur l'importance d'aller voter.
(Anjou: 514-351-1150.
(Saguenay: 418-589-7923.
(Viger: Téléphonez au PQ National: 1-800-363-9531.
Vous pouvez aider les comtés en élections en acheminant
vos dons par voie postale ou transfert bancaire.
N'oubliez pas que vous pouvez déduire de vos impôts
à payer, 75% de la première tranche de $200.00.
FRAUDE ÉLECTORALE PAR LE PARTI LIBÉRAL DE JEAN CHAREST
Facture juridique: $290,377.14--- $150,000.00 et plus pour les
travailleurs électoraux payé par les taxes des québécois
et québécoises pour la fraude électorale causée
par le parti libéral de Jean Charest. La facture juridique,
plus la facture du personnel électoral totalisent $440,000.00
et plus, le coût de l'élection de 1998 dans le comté
d'Anjou aurait été le bienvenu dans notre système
de santé, mais Jean Charest en a décidé autrement.
Lors de l'élection générale de 1998, le parti
libéral dans le comté d'Anjou, faisait une risée
de notre démocratie en achetant des votes à $10.00
et il y a des gens qui ont voté 24 fois.
Avec la bénédiction du fédéral, notre
directeur des élections (DGE) que nous payons grâcement
avec nos taxes et impôts, n'a pas annulé cette élection;
pourtant c'était sous sa juridiction. Comme les candidats
du parti libéral sont opportunistes, illusionnistes, ou tout
simplement pris du syndrome du conquérant et du conquis,
qui prend pour son bourreau et défend sa cause (syndrome
de Stockholm) ASSEZ C'EST ASSEZ LE RIDICULE.
Redonnons les lettres de noblesse à notre démocratie,
et votons pour notre véhicule (PQ). Le Parti Québécois
est le nom que nous avons donné à notre véhicule
qui découle de la fusion du RIN et du MSA à la fin
des années 1960.
Téléphonez au PQ National: 1-800-363-9531, pour connaître
les numéros de téléphone des comtés
en élection pour leur demander de faire sortir le vote. Si
vous avez de la parenté ou des connaissances dans ces comtés,
contactez-les et dites leur l'importance d'aller voter.
N'oubliez-pas qu'une personne qui ne va pas voter ou qui annule
son vote, favorise le parti libéral de Jean Charest, avec
toutes ses atrocités, exemple: moquerie de notre démocratie,
laisse le fédéral nous exploiter à sa guise
en utilisant sa structure, nous dit qu'il protège nos intérêts,
nous laisse sous-entendre que nous sommes une société
distincte, quand lui-même chef du parti conservateur, disait
au parlement fédéral qu'il n'y aura pas de société
distincte pour le Québec.
Celui-ci veut signer, à titre de premier ministre si son
parti détient la majorité des comtés, la constitution
de 1982 que tous les premiers ministres du Québec ont refusé
de signer, Lévesque, Bourassa, Johnson, Parizeau, et Landry.
Il laisse sous-entendre qu'un référendum sur les défusions
est chose faite avec lui, après vous avoir charmé
pour gagner votre vote à l'élection, il met à
votre disposition un registre pour la tenue d'un référendum
s'il y a un nombre suffisant de signatures par municipalités
fusionnées.
Après que le parti libéral aura dévoilé
aux gens des municipalités concernées le coût
de la défusion, ceux-ci refuseront la tenue d'un référendum
dans leurs municipalités en retirant leurs noms du registre,
mais ils ne seront pas en mesure de retirer leur vote au parti libéral
de Jean Charest; et ce sera une autre frustration à ajouter
à la longue liste de déceptions.
Pour en revenir à la fraude électorale occasionnée
par le parti libéral de Jean Charest dans le comté
d'Anjou lors de l'élection de 1998, son parti s'est vu donner
une amende ridicule de $10,000.00 en octobre 2002. Quelques temps
avant, soit au début de 1999, leurs donateurs du comté
de Westmount ont renfloués ses coffres de la somme de $539,437.75.
Et nous, nous avons hérité d'une facture juridique
de $290,377.14 et plus de $150,000.00 pour le personnel électoral,
pour un total de $440,377.14, le tout payé par nos taxes.
Pourtant cela devrait être comme pollueur-payeur, c'est-à-dire:
FRAUDEUR-PAYEUR.
Ce montant aurait été le bienvenu dans notre système
de santé, mais le chef du parti libéral et ses candidats
ont décidé autrement.
Le directeur du scrutin dans un comté est payé $32.70
de l'heure; son ou sa vice-présidente est payé $21.00
et plus de l'heure, et ses aides plus de $12.00 de l'heure, ainsi
que leurs outils de travail + les documents + la location de bureaux
adéquats + le coût des travailleurs électoraux
+ la location des emplacements des bureaux de votes + 50% des dépenses
électorales acquittées du parti de celui qui est arrivé
premier ou deuxième avec 15% du vote exprimé. Le tout
sera répété dans le comté d'Anjou à
l'exception de la facture juridique. ASSEZ C'EST ASSEZ, ARRÊTONS
DE TOURNER EN ROND, ET AGISSONS.
Vous pouvez faire des copies et les apposer sous les essuie-glaces
de pare-brises, sur les babillards, dans les stationnements de tous
genres, et sur les poteaux.
L'héritage des libéraux
Le parti Québécois a du mal à se départir
des gaffes des libéraux. Exemple: En 1994, lors de la conférence
des ministres des finances du pays qui se tenait à Montréal
le 2,3-02-1994 et au coeur de cette rencontre les taxes sur le tabac
et le transfert fédéral aux provinces étaient
des préoccupations de ceux-ci.
Le premier-ministre Jean Chrétien et son ministre des finances
Paul Martin, se sont engagés à garantir que le nouveau
paiement de transfert une fois établie sera respecté
par le gouvernement fédéral pour les 5 prochaines
années.
À Halifax, lors d'une première rencontre en décembre
1993, Mme. Monique Gagnon-Tremblay, du parti libéral du Québec,
et ses collègues des autres provinces, avaient exprimé
ouvertement leur opposition à ce que le fédéral
réduise le montant d'argent transféré aux provinces.
Pour le gouvernement du Québec, le transfert représente
près du tiers du budget total, c'est-à-dire que le
libéral provincial laisse le gouvernement fédéral
soutirer des québécois et québécoises
des sommes considérables en taxes et revenus de toutes sortes,
pour défrayer son coût de participation à titre
de membre de la confédération, et le reste transféré
au Québec.
Une autre partie de l'héritage libéral que notre
véhicule le Parti Québécois a de la misère
à se départir, la mentalité de la majorité
des dirigeants des Caisses de retraite, celle-ci a besoin d'être
changée.
Les dirigeants de plus de 1200 caisses de retraite du Québec,
placent la majorité de nos économies à l'extérieur
du Québec.
Des exemples qui démontrent la mollesse des libéraux
qui ne méritent pas un vote et encore moins un candidat ou
une candidate.
Les libéraux ont laissé une caisse d'une université
du Québec, à investir plus de $199 millions à
l'extérieur du Québec quand elle a investit dans les
entreprises du Québec un maigre $56 millions.
Une autre université du Québec n'a pas d'obligations
du gouvernement du Québec, ni dans Hydro-Québec, mais
$43.8 millions dans le gouvernement du Canada.
Une troisième a 1.1% de son avoir au Québec et 20.9%
dans d'autres pays et 23.2% en Ontario.
Source du dossier complet: ministère de l'économie
et des finances du Québec.
N'oublions-pas que c'est nous les contribuables québécois
et québécoises avec nos taxes qui finançons
ces universités. Merci!
Les professeurs devraient se déniaiser et fouiller çà,
et l'enseigner aux étudiants comment les libéraux
privent de bons emplois et de bonne qualité de vie avec vos
proches en vous forçant à vous expatrier en dehors
du Québec. Qu'ils incitent leurs étudiants à
téléphoner aux gens qui ont le droit de vote dans
les comtés en élections et de leur dire les conséquences
d'ignorer leur droit de vote.
Exemple de personnes qui votent autre que Parti Québécois
ou qui ne vont pas voter pour les raisons suivantes: religion, ne
croit pas à la démocratie, l'indifférence,
ne veulent plus rien savoir, des gens qui disent que leur vote ne
vaut pas grand chose, je vais voter lors d'un référendum
seulement, plus çà change plus c'est pareil, etc.
Mais toutes ces gens ont contribué inconsciemment à
favoriser la victoire du parti libéral du Québec et
ont facilité son travail de faire de notre démocratie
une risée, et par le biais de leur indifférence à
faire payer par tous les payeurs de taxes le coût direct de
cette fraude.
Entre 1986 et 1996, plus de $200 milliards d'économies québécoises
ont été transigés hors Québec, plus
précisément à Toronto, par le biais de nos
RÉER ainsi que nos assurances, etc.
Source: livre de l'Action National, titre: Déportation de
nos épargnes.
Si les québécois, payeurs de taxes, exigent de la
transparence, rien de plus normal; on saura avec certitude où
va notre argent.
Au lieu que les journaux en grosses lettres et images nous hypnotisent
avec la saga (écran) du Stade et son toit, devraient plutôt
dévoiler le parti libéral, qui est la cause principale
de la majorité de la fuite de nos capitaux (taxes québécoises)
et ce même parti s'enfuie comme une pieuvre derrière
un écran d'encre. Québécois, québécoises
votons pour soi, votons Parti Québécois, occupons-nous
de nos affaires, une bonne partie de notre richesse est là.
Il suffit de la garder et de la faire fructifier au Québec.
En se débarrassant de la mentalité libérale,
et en serrant les ouïes des gestionnaires de nos caisses de
retraite, en fouillant leurs honoraires, et en posant les bonnes
questions, nous encaisserons des centaines de millions et même
des milliards de dollars.
Exigeons que la transparence soit obligatoire. Quand nous, les
payeurs de taxes québécois et québécoises,
découvrions que l'argent gagné à la sueur de
notre front, que des villes, universités et que des centaines
d'entreprises enrichissent Toronto, çà va barder.
Rien de mieux qu'une bonne information et de la transparence.
Nous n'aurions pas: J'aurais donc dû pas voter libéral
en 2002.
Comme un commercial à la télé dit: Commençons,
qu'on en finisse.
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