Présentation d'un mémoire devant la commission parlementaire sur l'étude de la loi 14
Renforcement de la loi 101, lecture du mémoire de Souveraineté La Solution inc.,
par son président André Desnoyers,
au salon Louis-Joseph Papineau au parlement de Québec,
le 12 avril 2013.
Le 25 février 2009
la caisse de dépot et de placements, du déjà vu en plus petit
Ce qui se passe à la Caisse de dépôts (bas de laine des Québécois) ressemble à du déjà-vu, mais en plus petit. Voici: il y quelques années un regroupement de travailleurs vit le jour. Tous travaillaient dans la même usine de fabrication de maisons. J'étais l'investigateur qui est devenu le président de ce groupe. Nous avons voté pour une cotisation mensuelle de l'ordre de $10.00, compte tenu du revenu et des obligations de l'époque. Notre petite compagnie avait 2 buts qui emballaient les membres: le premier était de se procurer de l'emploi, et le deuxième investir à l'extérieur du groupe, quand nous aurons de l'argent de reste. Nous avions ciblé une petite entreprise de fabrication de portes et de fenêtres.
Cette entreprise était idéale et correspondait à notre savoir et emploi actuel. Mais nous n'avions pas assez d'argent pour l'acheter, nous n'étions pas assez solides financièrement pour les institutions financières. Nous nous sommes mis d'accord pour vendre des parts votantes pour augmenter nos avoirs. Des gens ont emprunter pour acheter des parts pour avoir le nombre de parts suffisant pour être majoritaires. Deux ans plus tard, une élection a eu lieu, et toute l'équipe de fondateurs sauf un conseiller a été remplacée par les membres qui avaient acheté des parts votantes. Lors de la première réunion du nouvel exécutif, ils votèrent pour l'abolition du premier but et maintinrent l'accent sur le rendement.
Ils ont prêté $25000.00 à deux personnes à l'extérieur du groupe pour ouvrir un restaurant et acheter une bannière étrangère au Québec. Deux ans plus tard, le restaurant fit faillite. L'étranger a repris sa bannière. Vous connaissez la suite. Le plus désolant étant de perdre le but de la fondation et nos économies.
Selon les médias, ce sont $38 milliards de notre bas de laine que nous avons perdu, seulement pour 2008. Des projets pour propulser le Québec vers l'avenir, les québécois en avaient (train TGV de la Gaspésie à Montréal, train magnétique de aéroport Mirabel au centre ville de Montréal, une avionnerie (Québec Air), voiture électrique québécoise, des usines de fabrication, usines de pièces, des garages de réparation avec points de vente, des bateaux avec containeurs pour le transport de notre marchandise et celle d'autres pays, une usine de bettrave à sucre. Le tout n'aurait pas coûté plus de $20 milliards.
Jean Charest, fédéraliste, blâme la récession, une excuse pour son incompétence et sa piètre vision. Le but premier pour les québécois était faire des projets pour améliorer le Québec. Les libéraux avec Jean Charest en tête, ce dernier a vu de bons postes bien rémunérés avec avantages alléchants pour ses amis, en plus des généreuses primes de départ. Le rendement était pour Jean Charest plus prioritaire que les projets québécois. Même si 100% des rentrées à la Caisse de dépôts viennent des contribuables québécois, la liste des amis de Jean Charest était plus importante. Pourtant le peuple québécois s'avait donné une caisse avec un but bien précis: faire avancer le Québec. Mais les libéraux, avec Jean Charest en tête, en ont fait fit comme les dirigeants de la petite entreprise. La petite entreprise n'existe plus, mais la Caisse de dépôts, oui et les fonds continuent d'y rentrer. Beaucoup d'argent s'accumule. Une solution s'impose.
Solution
Mettons Jean Charest et ses libéraux à la porte et vite. Que l'opposition forme le gouvernement et réalise nos projets dans le restant du mandat et restaure le but premier de la Caisse de dépôts. Elle a été mise sur pied ainsi. Les québécois (es) se sentiront respectés comme il se doit.
Visitez de site de Souveraineté La Solution inc. www.souverainetelasolution.com icône Journal, février 2004, p. 2. Souverainement vôtre,
André Desnoyers,Président.