Présentation d'un mémoire devant la commission parlementaire sur l'étude de la loi 14
Renforcement de la loi 101, lecture du mémoire de Souveraineté La Solution inc.,
par son président André Desnoyers,
au salon Louis-Joseph Papineau au parlement de Québec,
le 12 avril 2013.
L’Ontario contrôle et dicte sa loi à toutes les régions du Canada par l’entremise de la capitale Ottawa
Rien ne sert d’agir comme un pompier, il faut arrêter le pyromane.
Un vote dans notre Assemblée Nationale sur l’indépendance du Québec serait de mise et au plus tôt.
Même pas une motion sur le sujet, parlée ou déposée par nos députés au pouvoir, ni par l’opposition officielle, la deuxième opposition ou la troisième opposition, non plus.
Voici ce que Souveraineté La Solution inc. a dévoilé dans son journal en 2002.
Les bienfaits de la Souveraineté
Dans un Québec souverain, nous ne serions plus contrôlés par Ottawa, capitale du fédéralisme envahisseur et dictateur que l’on sait, que Toronto Ontario se cache derrière, qui fait ses lois et dicte ses recommandations et sa marche à suivre.
Nous à titre de peuple dans le pays du Québec, nous n’aurions plus à subir les dires et les contraintes des pays de l’Europe, compte tenu que nous ne ferions plus partie de cette confédération. Ottawa, capitale de la confédération, avec Ontario comme toile de fond, cache ses horreurs tout en contrôlant le peuple du Québec et le reste par l’entremise d’Ottawa.
Exemple: en 1973, deux couples de français venus de France, qui avaient installé une tente dans la région du sud de l’Ontario, plus précisément dans le district de Delhi, se faisaient réveillé à 2:00 du matin par la destruction de leur abri et ceux-ci recevaient en plus des coups de pieds au corps. La police provinciale de l’Ontario (OPP) a été appelée sur place. En prenant connaissance des faits et gestes ainsi que des dires entendus entre ceux qui ont commit cette offense, la police a pu conclure son enquête et inculper les 3 auteurs de ce délit.
Quelques mois plus tard, rien n’avait avancé. Les personnes victimisées de retour en France, se plaignaient de la lenteur du Canada et de leurs autorités respectives à s’occuper de ce délit. L’ambassade du Canada en France fut contacté, et l’Ontario fut contrainte de bouger rapidement.
L’Ontario pour éviter toute contrainte majeure à leur industrie touristique, décida d’apposer la loi de non-publication du sujet en court provinciale.
Le deuxième représentant du journal local, Simcoe Reformer, qui couvre toutes les causes de la court, l’a confirmé à André Desnoyers président Souveraineté La Solution inc. Pour plus d’informations sur cette situation, vous pouvez communiqué avec le journal au numéro de téléphone suivant: 519-426-5710.
Ci-inclus une copie de la lettre de l’ambassade de France à Ottawa sur le sujet. Selon celle-ci tous les documents sont détruits après une période de douze ans, date de fin de période du 12 ans inconnue. Logiquement, tous documents auraient dû être copiés sur microfilms avant leur destruction.
L’ambassadeur du Canada en France à l’époque de cet incident, était une personne d’expression anglaise, qui sans doute n’a cru bon de révéler ce dossier à son successeur, M. Lucien Bouchard, ex-premier-ministre du Québec.
Une solution à toutes ces cachotteries que subit le peuple du Québec de la part de la
confédération et de ses partenaires, c’est la Souveraineté.
Pas de dettes venant de l’extérieur du Québec aux Québécois et Québécoises, exemple: C. D.Howe Institute des États-Unis d’Amérique a confirmé qu’en vertu du droit international qu’un Québec souverain n’a pas d’obligation légale d’assumer une quelconque dette fédérale et ainsi deviendrait propriétaire de tous les actifs présents fédéraux sur son territoire et sans compensation. (Charte des Nations-Unies représentant 6 milliards de personnes et 193 pays.
Adresse Internet: www.un.org/french ).
Vous pouvez faire des copies et les apposer sous les essuie-glaces de pare-brises, sur les babillards, dans les stationnements de tous genres, et sur les poteaux.
Source: www.souverainetelasolution.com
journal de janvier 2002, p. 4-5.