L’importance de signer la pétition

 

Les conquérants des francophones de l’Amérique du Nord ont fait subir une guerre et toutes ses atrocités, ont essayé de faire oublier leur histoire, leur culture, leur langue en isolant la plus grosse concentration de francophones dans une région appelée Québec et en les tenant dans l’ignorance totale comme un mur idéologique de la honte au sujet de la langue française qui est la langue définie la plus répandue au monde et qui se trouve sur les sept continents et privé de tout levier économique, juridiction sur des structures telles que (ponts, voies maritimes, etc.), routes principales, transport (voies ferrées), représentation à l’échelle mondiale, contrôle de levier majeur sur l’immigration, précédence sur des lois faites par des francophones du Québec et hors Québec.

Beaucoup de francophones ont fuit le Québec vers les États-unis pour fuir l’oppression infligée par les conquérants. Il y a aujourd’hui plus de 14 millions de descendants québécois aux États-Unis.

Les conquérants ont pavé la voie aux horreurs nazis de la Deuxième Guerre Mondiale de 1939-45.

Arrêtons le génocide des francophones en Amérique du Nord. Cette pétition humanitaire a pour but de supporter la démarche des francophones pour que la découpure du Québec devienne leur pays.

Le passé est garant de l’avenir et le présent est du passé modifié. Modifions le présent en signant la pétition ici :  https://secure.avaaz.org/fr/petition/Nations_Unies_Sauvons_le_seul_peuple_francophone_de_lAmerique_du_Nord/?preview=live

Et arrêtons ce génocide.

découpure du Québec

 

langueSuggestions pour le renforcement de la loi 101

Le 12 avril 2013, le président de Souveraineté La Solution inc., André Desnoyers, a fait la lecture de son mémoire sur la langue française (suggestions) dans le cadre de la loi 14 pour le renforcement de la loi 101.  Au tout début, le président a décrit le logo de Souveraineté La Solution inc. et a commenté la médiocrité de la performance des élus en général, tous partis confondus.  Il leur a dit: “tous députés de tous partis confondus mis dans une poche et bien secouée et aucun n’en sortira, vous tous vous vous enfargez dans les fleurs imprimées dans le tapis”.

Il a décrit l’attitude archaïque de l’envahisseur, la présence française en Amérique du Nord, ses possessions soit plus de 3/5 de l’Amérique du Nord, les lois contre la langue française par les conquérants anglais de l’Angleterre ainsi que les derniers maîtres acquéreurs de la Louisiane.

Après le temps écoulé, la présidente a demandé aux députés s’ils avaient des questions.  Le président de Souveraineté La Solution inc. s’est exclamé: “après qu’ils se sont faits chauffer les oreilles rouges, ça m’étonnerait”.  Les députés m’ont remercié mais personne ne m’a posé de questions même pas le député d’expression anglaise du parti libéral qui disait à la personne qui avait lu son mémoire avant moi qu’il venait originalement de l’Ontario et que l’on parlait le français, ceci laissait sous entendre que le français se portait bien.  Quand le président de Souveraineté La Solution inc. a dit qu’il avait vécu en Ontario tout près de dix ans et l’endroit où il vivait, lui et sept francophones, qui se côtoyaient, avaient tous des papiers officiels du gouvernement de l’Ontario écrits uniquement en anglais.  La langue française, que nous parlions, était seulement du folklore.  
Équipe de Rédaction du journal

Vous pouvez voir et entendre le président de Souveraineté La Solution inc. sur le site de l’Assemblée Nationale au:  
http://www.assnat.qc.ca/fr/video-audio/AudioVideo-45281.html?support=video

Vote, députés, parlement, déclaration d’indépendance

En constatant les agissements et dires des députés en poste, tous partis confondus, la ligne du parti a l’air plus importante que le peuple qu’ils représentent.  Une motion de vote dans l’Assemblée Nationale sur l’indépendance du Québec, qui contiendrait aussi la mention: qu’advenant toute abstention, le vote sera jugé favorable à l’indépendance.  C’est ce qui s’est passé en 1776, lors du vote sur l’indépendance de la Nouvelle-Angleterre de sa mère patrie, le gouverneur de l’état de New York qui était absent et son abstention a été jugé favorable à l’indépendance.  Le tout pourrait être déposé par n’importe-quels députés du PQ et une discussion de trois jours maximum sur le sujet avant le vote pourrait avoir lieu.  

Et quand le dépôt de cette motion sur l’indépendance du Québec?  Au plus tôt, cette année, en l’an 2013.

Si le Canada, par sa capitale Ottawa, ainsi que les États-Unis et au delà de 90 pays ont reconnu la déclaration unilatérale d’indépendance du Kosovo par son président, imaginez un vote majoritaire de l’indépendance du Québec dans son Assemblée par tous ses députés élus démocratiquement par son peuple et reconnu par les Nations Unies, elles qui représentent 193 pays et plus de 6.5 milliards de personnes.

Les $45 milliards d’impôts et plus que nous envoyons annuellement à Ottawa et les $35 milliards en points d’impôts (taxes) et plus que ce dernier vient chercher annuellement dans nos poches, ses dires de pourcentage dans un référendum et une question favorable à lui, les dires de la sorte qui ne tiennent pas la route, et le non respect des lois de l’Assemblée Nationale du Québec, seront inutiles.  Toutes ces absurdités seront choses du passé et seront écrites dans nos livres d’histoire pour être enseignées et serviront d’exemple aux autres nations de notre planète.

Un envahisseur ne respecte pas un peuple conquis encore moins s’il le tient dans l’ignorance et la peur.

nonUne langue menacée

Voici ce qui attend tout peuple qui est contrôlé par une autre nation.  La langue, la culture, l'économie et son bien-être, etc, en prennent pour leur rhume.

Le président de Souveraineté La Solution inc., le 12 avril 2013, lors de la présentation, au salon Louis-Joseph Papineau au parlement de Québec, de son mémoire sur le renforcement de la langue française (loi 14 pour la loi 101 de la charte de langue française) qui a pour effet de protéger la langue de la nation québécoise, a stipulé qu'il y a plus de 3000 langues sur notre planète et qu'il faut les protéger.

Pour voir la vidéo de cette allocution, référez vous à l'accueil de ce site.

Voici un article qui a parût dans les journaux au Canada, il nous informe que les droits linguistiques des francophones en Colombie Britannique (province du Canada) ne sont pas respectés.  Et dire que le Canada affirme haut et fort qu'il y a deux langues officielles et égales dans ce pays, soit le français et l'anglais.  À vous de juger.

Stéphanie Marin
La Presse Canadienne
Ottawa, Ontario

Il n'est pas possible de déposer des documents uniquement en français devant les tribunaux de Colombie-Britannique, a confirmé vendredi la Cour suprême du Canada - dans une cause qui portait justement sur les droits linguistiques des francophones dans cette province.

Dans une décision partagée 4-3, le plus haut tribunal du pays a conclu que la loi de 1731 qui oblige le dépôt de documents en anglais est toujours en vigueur, car elle n'a pas été abrogée ni modifiée depuis.

Selon la Cour, il n'est pas non plus contraire à la Charte canadienne des droits et libertés que des instances se déroulent uniquement en anglais dans cette province.

Bref, tous les documents en langue française doivent, encore aujourd'hui, être obligatoirement traduits.

«C'est le statu quo», s'est exclamé Mark Power, l'un des avocats qui représentaient le Conseil scolaire francophone, qui a essuyé un revers vendredi. Il a aussi qualifié la décision de «décevante».

Le jugement aura aussi un impact dans d'autres provinces - comme en Nouvelle-Écosse, à Terre-Neuve et sur l'Île du Prince-Édouard - où certains auraient pu s'essayer à déposer des documents dans la langue de Molière. Mais c'est un «non» de la part de la Cour suprême.

La décision de la Cour ne touchera toutefois pas aux droits des francophones dans d'autres provinces; l'accès bilingue à la justice est prévu dans la Charte en ce qui concerne le Nouveau-Brunswick, et dans la Constitution de 1867 pour le Québec et le Manitoba. Quant à l'Ontario, à la Saskatchewan et à l'Alberta, les trois provinces ont adopté des lois pour garantir une certaine place au français devant les tribunaux, a expliqué Mark Power, en entrevue.

Dans cette affaire - dont le procès n'a pas encore eu lieu - le Conseil scolaire francophone de la Colombie-Britannique et une fédération de parents francophones ont intenté une action en 2010 contre le gouvernement et son ministère de l'Éducation, alléguant des violations à la Charte canadienne des droits et libertés, plus précisément au droit des minorités à recevoir une éducation en français.

La province a allégué que le conseil scolaire n'avait pas le droit de revendiquer les droits linguistiques garantis par l'article 23 de la Charte ou d'intenter une action pour protéger ces droits.

En réponse, le conseil scolaire a déposé des déclarations sous serment qui décrivent son rôle dans la promotion et la protection de l'éducation et de la culture de langue française dans la province. Les déclarations étaient accompagnées de 195 pages de documents, seulement en français, sans traduction anglaise certifiée conforme.

Le conseil scolaire avait ainsi demandé un jugement déclaratoire qui édicterait qu'il n'a pas à fournir une traduction de toute sa preuve - et ainsi économiser beaucoup d'argent.

Le gouvernement s'est opposé, invoquant notamment une loi de 1731, reçue d'Angleterre et intégrée au droit colonial de la Colombie-Britannique, qui requiert que tous les documents déposés à la Cour le soient en anglais.

La Cour supérieure et la Cour d'appel avaient donné raison à la province. Vendredi, la Cour suprême a confirmé leur décision.

Pour la Cour, l'entrée en vigueur de la Charte des droits et libertés en 1982, qui protège les droits linguistiques, n'a pas changé la donne.

«Il n'est pas contraire aux valeurs de la Charte que la législature de la Colombie-Britannique décide que les instances judiciaires se déroulent uniquement en langue anglaise. La Charte n'oblige aucune province, sauf le Nouveau-Brunswick, à assurer le déroulement des instances judiciaires dans les deux langues officielles», écrit le juge Richard Wagner de la Cour suprême.

Car cette question de langue utilisée devant les tribunaux relève de la juridiction des provinces, en vertu de leur compétence constitutionnelle en matière d'administration de la justice.

Et puis, la législature de la Colombie-Britannique pourrait très bien adopter une loi qui permette le déroulement en français des instances civiles, souligne M. Wagner, qui a rendu les motifs de la majorité.

«Cependant, si elle n'en adopte pas, la Cour ne peut lui en imposer une», conclut-il.

Pour la Fédération des francophones de la Colombie-Britannique, le jugement de vendredi «remet en évidence les besoins criants d'une reconnaissance de la langue française et de l'adoption d'une politique de services en français au niveau du gouvernement provincial de la Colombie-Britannique».

Petite victoire toutefois: la Cour suprême a ordonné à la province de payer tous les frais de cour dans trois instances, et même ceux de la partie adverse. «Une chose très, très rare», a insisté Me Power. Et c'est encourageant pour les groupes minoritaires, juge-t-il.

Dans la présente cause, l'usage de l'anglais serait même «un peu anachronique», a commenté Me Power: les documents sont en français, déposés par une institution qui est tenue par la loi de fonctionner en français, la juge au dossier est bilingue et la province de la Colombie-Britannique dispose d'avocats qui parlent français, souligne-t-il vigoureusement.

«Le jugement (de vendredi) ne change rien au fonds du dossier, résume-t-il. Ça va juste coûter plus cher.»

assimilationLa route de l’assimilation

Comment des millions de Franco-américains furent assimilés et pourquoi il faut un support législatif aux Québécois pour résister à l’assimilation ?

Entre 1840 et 1930, environ 900,000 Canadiens français (certains disent un million) émigrèrent au États-Unis. Ce fut une sévère saignée étant donné qu’il n’y avait que 1,648,000 Canadiens français en 1900. (Des démographes prétendent que nous serions, aujourd’hui, plus de 15 millions de Québécois.)

Les émigrés de la première génération vécurent comme s’ils étaient encore au Canada. Ils conservèrent langue, religion et coutumes.
Leurs enfants virent la chose un peu différemment. Ils ne se considérèrent plus comme faisant partie d’une nation différente. Ils demeurèrent fiers de leurs origines, mais renoncèrent petits à petits à leur identité première.

Ils ont pourtant longtemps eu leurs propres institutions : églises, écoles, journaux français, mutuels, etc. Mais les évêques irlandais oeuvrèrent insidieusement et inlassablement à l’assimilation des nôtres qui résistèrent pourtant farouchement aux nominations de curés anglais, belges et français (européens) qui démontrèrent peu de sensibilité pour notre nationalité. Ces derniers s’alignaient plus facilement
sur les politiques épiscopales assimilatrices. Un certain Monseigneur William Hickey, évêque de Providence, s’acharna inlassablement contre la nationalité franco-américaine.  Puis il y eut des sermons dans les deux langues, les écoles laissèrent de moins en moins de place au français, la dizaine de journaux franco se mirent à publier dans les deux langues. La Sentinelle, journal de Woonsocket avec Elphège-J Daignault et un dernier carré d’une cinquantaine d’irréductibles résistèrent héroïquement de 1924 à 1928. Mais ils durent se rendre à l’évidence : L’assimilation devenait foudroyante.

La langue des sermons changea pour l’anglais seulement. Des parents franco de plus en plus nombreux demandèrent que les cours s’offrent en anglais. On réussit, à certains endroits, à conserver une heure de français par jour. Les mutuelles et autres associations franco délaissèrent petit à petit le français pour l’anglais, cela étant plus payant, les journaux franco laissèrent de moins en moins de
place au français, puis disparurent, pour la plupart.

Aujourd’hui, il reste bien quelques « dinosaures » franco en Nouvelle-Angleterre, mais le combat de la survivance dans les petits Canada a été perdu pour toujours. Ceux qu’on appelait les « Chinois de l’est » tant ils résistaient pour conserver leur langue et coutumes sont à peu près disparus. Plus personne ne croit à cette renaissance tant souhaitée.

Tout s’est joué en l’espace de quelques décennies, à partir de 1917 particulièrement, quand le Président Roosevelt, agacé par cette résistance tenace, lança la campagne «American 100% ». Jamais on ne se serait douté d’une telle fragilité. L’assimilation fut drastique.

L’inertie, la langue et la vie

Le mangue de rigueur de nos élus (inertie), mêlé avec la pensée de la ligne de partie, tout en faisant des choses illogiques, comme être en faveur de mélanger la politique avec la religion (accommodements raisonnables), la désobéissance directe des lois du Québec en matière de langue (charte des droits et libertés) du fédéral qui prime sur celle du Québec. L’immigration qui est de juridiction à 100% fédérale favorise un parti d’allégeance fédéraliste sur la scène québécoise.

Les partis d’opposition, qui se disent fédéralistes, sont prêts à tout pour acquérir des votes même si la situation peut mettre la vie en danger.

Un couple sur la rive sud de Montréal, voyant sa fille d’environ 5 ans en convulsions, appelle les services paramédics. Les paramédics arrivant sur place, constatent l’état de la fillette, et commencent sans perdre de temps les manoeuvres appropriés pour sauver la vie de cette enfant, mais au grand damne des parents, le père qui est francophone et parle très bien français et anglais, s’offusque parce que le sauveur de sa fille ne s’exprime pas aisément en langue anglaise, il oublie la situation de sa fille, engueule l’intervenant parce qu’il ne pouvait pas communiquer avec lui en anglais, pour enchérir la mère de la fillette unilingue anglaise résidant au Québec, dit que ce paramédic devrait être congédié. Probablement, elle ne veut pas se conformer aux lois du Québec
encore moins les respecter.

Ces gens, peu importe ce que nous faisons pour eux, ne changeront pas, ils sont comme des kamikazes, leurs convictions passent en premier et la vie en deuxième.

C’est le prix à payer pour l’inertie, la langue passe avant la vie.

pakistanaiseLa Pakistanaise blessée par les talibans transférée en Grande-Bretagne.

Ce couple québécois devrait prendre exemple sur cette pakistanaise soignée en Angleterre, oublier leurs préjugés sur la langue de la région du globe où ils résident et penser à la santé de leur fillette en premier.

Gatineau se déquébécise pour s’ontarioniser

Jean-Paul Perreault a publié dans Impératif français 

 Gatineau se déquébécise pour s’ontarioniser
Une politique linguistique en faveur du français s’impose sans tarder!
Selon les données du recensement de 2011, Gatineau s’anglicise! Gatineau se déquébécise pour s’ontarioniser!
De 2006 à 2011, sur à peine cinq ans, la population de langue maternelle française a diminué de deux pour cent. D’ailleurs, force est de constater que chez les jeunes francophones, l’assimilation va en augmentant.
Pour sa part, la communauté anglophone voit son importance augmenter de 21 % à cause de l’assimilation des allophones et des francophones.
La communauté anglophone de Gatineau qui ne représente que 12 % de la population totale de la ville attire près de six fois son poids des transferts linguistiques, soit 68 % de tous les transferts.
La suite : 
http://www.imperatif-francais.org/bienvenu/articles/2012/politique-linguistique-en-faveur-du-francais.html

 

langueDans une première année d’un Québec souverain majoritaire ou pas, un gouvernement au pouvoir lors du début de la première année de son premier mandat introduirait une loi qui se lirait comme suit: toute personne dont le travail consiste à rejoindre la population, devrait parler le français international qui ne contient ni anglicisme (weekend, shopping, etc.) ni régionalisme (picouille, bazou).

De doter l’Office de la langue française du pouvoir de laisser ou pas les publications étrangères en provenance de pays francophones, d’entrer en sol québécois destinées aux étudiants et étudiantes québécois.

Lors de la première année d’un gouvernement souverain majoritaire ou pas, que des manières incitatives soient mises de l’avant pour concevoir un dictionnaire québécois de langue française se rapprochant le plus possible de la langue d’origine.

Au début du premier mandate d’un gouvernement souverain majoritaire ou pas de former un comité pour enlever les mots doublés qui ne sont pas en français, et de mettre disponible en tous temps au public par toutes les voies possibles les informations sur les organisations francophones du commerce, leurs membres leur population, ainsi que la population mondiale francophone.

Personne ne leur avait dit qu’il y a dans le monde 500 millions de population dans les pays francophones, que l’OMC est une organisation mondiale du commerce entre les pays francophones, qui représentent 45 pays. L’organisation A.I.F. est une association pour défendre et promouvoir la francophonie économique et les intérêts de ses pays-membres, qu’il existe d’autres associations des pays francophones, notamment le C.E.M.A.C., continent de l’Afrique centrale, le C.E.D.E.A.O. Afrique de l’ouest opérateur principal A.I.F., elles regroupent 49 états et gouvernements. (Source le Journal de Montréal, édition le 15 novembre 2000, p. 11)

Voici la catégorie des quatre langues les plus parlées et répandues au monde:
Langues
                                Population             Définie            plus parlée      répandue         Dialecte
Mandarin (Chine)       1.2 milliards +          X                         X
Cantonnais (Chine)     600 millions +                                      X                                       X
Français                    480 millions +          X                                              X
Anglais                     560 millions +                                                           X                    X

Le français est la langue définie la plus répandue au monde et la seule qui a force de loi. Tous les traités de paix qui signifie l’arrêt de la guerre sont signés en français et après dans la langue des combattants.
Le français est la seule langue définit avec l’anglais langue dialecte aux Nations Unies qui représentent plus de 6.5 milliards de personnes sur la terre et 193 pays.

Que le gouvernement révise la loi concernant l’admissibilité des élèves dans les écoles anglaises surtout pour ceux qui sont de langue française.

Que le gouvernement introduise une loi interdisant toute personne monoparentale d’envoyer ses enfants à l’école anglaise en sol québécois, surtout s’ils sont francophones.

Que le gouvernement introduise une loi faisant en sorte que toute femme ou fille ayant un enfant enregistré de père inconnu, doive obligatoirement inscrire cet enfant à une école de langue française.
Qu’une loi oblige toutes les compagnies et les entreprises faisant affaires avec le public et qui sont établies en sol québécois, d’afficher en français à l’extérieur.

Toute compagnie ou entreprise reconnue coupable d’infraction à cette loi se verrait imposer une amende totalisant 25 % du total de leurs déductions fiscales.

Mandater l’Office de la langue française de : obligatoirement de rapporter tout média en sol québécois qui fait paraître des commerciaux, soit chansons ou paroles dans une autre langue que le français destiné aux Québécois(ses).
Le gouvernement mandate à l’aide d’une loi de l’Office de la langue française d’un pouvoir de former un groupe d’étude qui sera chargé d’enlever les mots étrangers dans notre langue quand ils existent déjà et de trouver des mots nouveaux avec la concordance des pays francophones à moins que ce soit des mots spécifiques à notre pays le Québec tout en respectant la conjugaison, mais la priorité restera toujours les pictogrammes et en petit caractère une version française.

Que le gouvernement modifie la loi 101 au chapitre de l’accessibilité à l’école pour le changement qui s’impose donc : tous les enfants nés et qu’un des parents a fait son école en totalité ou en partie en français, cet enfant de neuf ans et moins né de cette union doit obligatoirement aller à l’école française.

Que toute boîte vocale ou répondeur du gouvernement ainsi que sa correspondance soient en français, toutefois une version anglaise pour la correspondance pourrait être disponible sur demande écrite.

Que tous les objets vendus en sol québécois consommé par les humains ou les animaux, soit étiquetés en français et que le mot OMG soit inscrit avec sa définition.

Que le gouvernement introduise une loi abolissant l’école anglaise privée subventionnée ou pas, lors d’un premier mandat d’un gouvernement souverainiste majoritaire ou pas dès la première année.  Le but de cette loi est de contrecarrer l’argent venant de l’extérieur du Québec pour défrayer le coût des études privées en anglais au détriment de la langue française.

Que le gouvernement introduise une loi Québécoise qui obligerait que toutes les compagnies sur son sol soit enregistrées au Québec avec logo et écritures en français dans un délais prévue n’excédant pas 3 mois.

Que le gouvernement introduise une loi Québécoise qui obligerait toutes compagnies qui voudraient s’implanter au Québec de se doter d’un logo et d’un nom en français

Que le gouvernement introduise une loi Québécoise qui stipulerait que tout site internet fait en français avec la dénomination .QC  soit déductible d’impôts.

Que le gouvernement introduise une loi québécoise, qui se lierait comme suit: qu’il soit
interdit pour toute entreprise inc, ltée, enrg. ou pas de faire paraître des pictogrammes représentant d’autres pays dans sa publicité sur des canaux québécois ou logo en sol québécois: feuille d’érable (Canada), à l’exception de la fleur de lys et de l’iris.

Que le gouvernement introduise une loi québécoise, qui se lierait comme suit: qu’il soit
interdit que toute compagnie inc., ltée ou enrg. ou autres en sol québécois se servent d’œuvres de charité ou autres pour passer sa propagande contre le Québec: le gardien de but du club de hockey le Canadien de Montréal, qui portait un casque avec l’effigie du drapeau du Canada et une feuille d’érable pour louanger les soldats canadiens en Afghanistan.

Le Canada, par l’entremise d’Ottawa, discrédite le Québec en se dotant d’un CRTQ pour réglementer les radios et télévisions sur son territoire.

Que le gouvernement introduise une loi québécoise interdisant toute compagnie inc., ltée ou enrg. ou individus en sol québécois de faire des levées de fonds utilisant des chansons autres qu’en français du Québec ou la vente d’articles fabriqués à moins de 51% au Québec.

Que le gouvernement introduise une loi québécoise, qui fera en sorte que toute invention faite au Québec porte un nom québécois français.

Que le gouvernement en place fasse une Loi que ferait en sorte que toutes les maisons familiales (appartements) québécoises, reçoivent annuellement un petit rapport sur la langue française, son évolution, les mesures prises, les mesures à venir prochainement sur tout le sol québécois.

Que le gouvernement en place introduise une loi que ferait en sorte que tous les magasins à grande surface ou pas, de nourriture ou pas, centre d’achat, tout genre d’endroit publique, extérieur ou pas, qui font jouer de la musique ou de la chanson doit être en français du Québec, branché sur une radio Québécoise ou sur etc.

Que le gouvernement en place introduise une loi qui ferait en sorte que tout directeur des sports Québécois doive obligatoirement fonctionner en français ainsi que la musique pour chorégraphier les événements et le directeur viennent d’ici.

Que le gouvernement en place, par l’entremise du CRTQ, introduise une loi pour que toute traduction instantanée soit faite par un interprète francophone québécois incluant une personne pour le langage des signes.

Que le gouvernement en place introduise une loi interdisant aux personnes qui annoncent la vente d’arborer une enseigne en français et une autre en anglais, exemple : À vendre, autre : for sale. Une amende de 20$ minimum si trouvées coupables et déduite sur le rapport d’impôts.

Que le gouvernement en place introduise une loi interdisant aux restaurants d’avoir des napperons en anglais et d’autres en français ou toute enseigne sous peine d’amende, si trouvés coupables, de 100$ pour la première offense et plus selon la gravité de l’offense et le double pour récidive. Les enseignes et directives devraient être unilingues français avec un pictogramme y compris les napperons. Exemple : les restaurants devraient afficher le menu en français, avec un pictogramme (l’image de mets). Compte tenu de la mondialisation du tourisme, ça fait en sorte que nous sommes exposés à plusieurs alphabets : turque, grecque, arabique, chinois, russe, etc. Il ne s’agit pas de faire plusieurs exemplaires de ces menus en différentes langues, dialectes, alphabets, (un pictogramme est de mise). D’ailleurs toutes ces choses sont déductibles d’impôts. Et comme dit l’adage : «avant d’exiger le respect d’autrui, il faut se respecter soi-même».

Que le gouvernement en place à Québec introduise une loi qui ferait en sorte que toute compagnie qui veut s’installer ici, se dote d’un nom québécois et d’un pictogramme.

Que le gouvernement présent introduise une loi faisant en sorte que les radios anglophones d’ici, fassent jouer 49% de chansons francophones québécoises.

Que le gouvernement présent introduise une loi qui fera en sorte que la radio française d’ici au Québec nous fasse entendre des chansons françaises (québécoises) à plus de 83% et ceci aux grandes heures d’écoute et 17% dans les langues et dialectes, exemple: italien, portugais, allemand, chinois, anglais, russe, etc.

Que le gouvernement présent introduise une loi qui fera en sorte que toute demande de soumission hors Québec,  soit faite en français ainsi que toute correspondance que le gouvernement du Québec utilisera soit aussi en français et dans la langue du pays.

Au début de la première année de la déclaration de la souveraineté, qu'une loi oblige toute personne travaillant pour un média écrit ou électronique (radio, télévision) connaisse correctement la v raie langue française, sinon que la dite personne suive des cours pour corriger la situation.

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