Transport

 

monorail mgvTracé du Monorail MGV

Le monorail M.G.V. est mu à 100% électrique, un projet basé sur 15 ans, une invention à 100% Québécoise, futuriste et exportable, rapide de construction, écologique et moins chère de 25% à 50% que la vieille technologie importée. Le monorail M.G.V. a une vitesse de croisière de 285 km à l'heure.

Pour voir les tracés qui vont couvrir tout le territoire québécois, ses 78 stations, ses 4 maisons de directions, son aéroport international à venir et rebaptisé René Lévesque, sa suggestion pour désengorger les villes de Québec et de Lévis aux prises avec plein de voitures et d'une pollution extrême qui pourraient faire fuir le tourisme de la plus veille ville de l'Amérique du Nord et la seule fortifiée, que le projet proposé par le parti de l'austérité ne peut qu'empirer.

Pour voir cet album:

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Résultat d'un peuple dans son pays le Québec.

carteUn monorail à la grandeur du pays le Québec et opérationnel serait une obligation avant la fin du premier mandat en trois points; ainsi qu'un Trans Québec avant la fin du deuxième mandat, de New Carlisle en Gaspésie à Ville-Marie Abitibi.

1- Le Québec devrait avoir fini et mis en service la ligne entre l'aéroport de Mirabel et Montréal.

2- Le Québec devrait avoir fini et mis en service la ligne entre Québec ville et Montréal sur le rive nord.

3- Le Québec devrait avoir fini et mis en service un monorail entre Montréal et Lévis sur la rive sud, tout en faisant escale à Lévis, Victoriaville, Drummondville, St-Hyacinthe et Longueil.

Toutes les régions du Québec seront desservies par un monorail, sur une base de vingt ans.

 

monorailLes villes de Magog, Granby, St-Jean-sur-le -Richelieu, avec leur inertie sont-elles en train de se faire damer le pion par la ville de Bromont dans la saga du monorail dans le corridor Sherbrooke Longueil?

En contrepartie la ville de Bromont serait la mieux placée, compte tenu de sa proximité de l’autoroute 10 pour le monorail ou le terre-plein pour servir de corridor pour ce dernier.  La plupart de ces villes désignées station ont reçu un courriel leur ventant les bénéfices qui en découleraient: centre d’achats, épiceries, restaurants rapides de bannière québécoise, commission des liqueurs, arrêt d’autobus local et national, développements domiciliés, etc.

Que toute ville qui se sent préoccupée du bien-être de ses citoyens, demande au gouvernement par l’entremise du MAMROT, qu’elle soit octroyée pour faire une étude de faisabilité ayant comme sujet: villes stations pour le monorail avec le tracé.  La ville Montréal avec son centre ville devrait faire de même ainsi que la ville de Longueil.  Le tracé des ces villes stations de la ville de Sherbrooke à Montréal donnerait un soulagement au pont Champlain en allongeant sa vie utile et une sécurité accrue pour ses usagers.

Deux autres lignes qui seraient bon de voir le jour.  Dans le corridor de la ville de Québec tout en faisant escale à Trois-Rivières, L’Assomption, et l’est de Montréal tout près du tunnel Louis-Hyppolite Lafontaine.  Cette ligne donnerait un répit au pont Charles Legaule  et une sécurité accrue pour ses usagers.

La deuxième ligne de monorail serait de l’aéroport Mirabel au centre ville de Montréal, tout en faisant escale à Mascouche.

 

Voici la lettre courriel qui a été envoyé à ces villes désignées stations:

Bonjour,

Voici en pièce jointe un projet d'envergure nationale ainsi que son montage financier.

Imaginez qu'un centre d'achat s’y rattache avec des chaînes de restaurants en majorité Québécoise
telles que: St-Hubert, Valentine, Beigne-bec, Corvette, etc.; un Supermarché Métro, un arrêt
d'autobus de ville, un développement domiciliaire, etc. C'est un projet à bien y penser.

Souveraineté La Solution inc.

                                                                                                                                          Journal local
Même lettre envoyée aux journaux locaux.pont champlain

marineUn Québec indépendant doit avoir sa propre marine marchande. Un navire pour le transport de ses
marchandises, c’est un incontournable.

Un Québec, dans sa première année d’indépendance, doit acheter un bateau pour transporter sa marchandise et son pétrole, faire rénover son bateau ou ses bateaux chez Verreau (Gaspésie) et s’il y a un deuxième, chantiers maritimes Devy (Lévis), des conteneurs faits par Canam Manac (Beauce), la fabrication de composants dans les quatre coins du Québec pour les voitures électriques et un monorail en construction pour rouler à travers le Québec, ainsi qu’un train magnétique ou un monorail entre l’aéroport de Mirabel et le centre ville de Montréal, qui seront aussi en service au peuple avant la fin du premier mandat d’un Québec indépendant.

Nous aurons besoin de ces conteneurs et des bateaux pour les transporter, ainsi que pour subvenir
aux besoins des pays qui auront des contrats de fournitures pour le TGV trans-Québec.
Une marine marchande québécoise est de mise. Beaucoup d’autres projets en dépendent.

Montage financier

Des projets nous en avons, et nous avons les capacités et la matière grise pour les réaliser, mais
pour agir en toute liberté, il faut se donner les moyens.

Premier atout pour financer ces projets

Les syndicats: la FTQ avec le fond de solidarité a aujourd'hui un actif de plus de $7.4 milliards, les Réer la FTQ constituent la principale rentrée de fonds. La CSN va dans le même sens aujourd'hui mais nous n'entendons moins parler d'elle compte tenu qu'elle a débuté tout dernièrement. Les Caisses de retraites et les fonds mutuels en 1996 totalisaient plus de 250 sociétés. Leurs succursales implantées au Québec ont déporté plus de $200 milliards et aujourd’hui en 2006 c’est plus de $300 milliards d'économie québécoise. Et comme pour faciliter les exportations de notre économie, en 2005 le conquérant qui siégeait à Ottawa sous la bannière libérale a illimité la limite
de contenu étranger des régimes enregistrés permettant du fait même aux investisseurs d’avoir
100% de placements étrangers dans leurs RÉER.

Deuxième atout pour financer ces projets

Le critique en matière de finances de l’opposition officielle du parlement de Québec, le député de Rousseau, M. François Legault, écrivait en 2005 qu’après les cinq premières années d’un Québec souverain que celui-ci dégagerait un profit de $17 milliards après avoir payé la part de la dette fédérale et le rachat de tous les actifs fédéraux en sol québécois.

Si nous prenons comme exemple, le fédéral a remboursé plus de $90 milliards sur sa dette depuis 10 ans et que nous formons le quart de la population, cela équivaut à $22.5 milliards sur 10 ans, à raison de $2.25 milliards par année. En se basant sur le rapport du député de Rousseau, ça serait $11.25 milliards à ajouter à son $17 milliards pour un total de $28.25 milliards.

Voici ce que le CD Howe Institute des États-Unis d'Amérique écrivait lors du référendum sur la souveraineté du Québec en 1995:

Pas de dettes venant de l'extérieur du Québec aux Québécois et Québécoises, en vertu du droit international qu'un Québec souverain n'a pas d'obligation légale d'assumer une quelconque dette fédérale et ainsi deviendrait propriétaire de tous les actifs présents fédéraux sur son territoire et sans compensation. (Charte des Nations-Unies représentant plus de 6.5 milliards de personnes et 193 pays.
Adresse Internet: www.un.org/french).

Avec ce montant de $28.25 milliards, tous ces projets mentionnés et bien d’autres sont plus que faisables, ils sont même réalisables.

quebecairTransporteur national Québec Air

Tout pays qui se respecte, doit avoir un transporteur au service de son peuple. Le Québec est le troisième plus gros constructeur d'avions au monde. La compagnie Bombardier doit réaliser que sans l'aide financière de ses compatriotes québécois (es), elle ne serait pas où elle est aujourd'hui.  

Pour ressusciter Québec Air, cela prendrait un minimum de deux avions de ligne internationale et plus petit pour des lignes intérieures.

La compagnie Bombardier, en guise de remerciement au peuple québécois pour son aide financière, devrait donner à Québec Air un avion de ligne internationale et un prix réduit pour l'autre, ainsi que pour les lignes intérieures.

Prenons avis qu'un don d'un avion récent (nouveau modèle) est déductible d'impôts, sans compter
la publicité pour le fabricant ainsi que plusieurs emplois seront créés chez nous.

Ce projet est complémentaire avec le train magnétique entre Mirabel et le centre ville de
Montréal, terminé et mis en opération le plus tôt possible d'ici 2015.

Montage financier

Des projets nous en avons, et nous avons les capacités et la matière grise pour les réaliser, mais pour agir en toute liberté, il faut se donner les moyens.

Premier atout pour financer ce projet:

Les syndicats: la FTQ avec le fond de solidarité a aujourd'hui un actif de plus de $7.2 milliards, les Réer la FTQ constituent la principale rentrée de fonds. La CSN va dans le même sens aujourd'hui mais nous n'entendons moins parler d'elle compte tenu qu'elle a débuté tout dernièrement. Les Caisses de retraites et les fonds mutuels en 1996 totalisaient plus de 250 sociétés. Leurs succursales implantées au Québec ont déporté plus de $200 milliards et aujourd'hui en 2006 c'est
plus de $300 milliards d'économie québécoise. Et comme pour faciliter les exportations de notre économie, en 2005 le conquérant qui siégeait à Ottawa sous la bannière libérale a illimité la limite de contenu étranger des régimes enregistrés permettant du fait même aux investisseurs d'avoir 100% de placements étrangers dans leurs RÉER.

Deuxième atout pour financer ce projet:

Le critique en matière de finances de l'opposition officielle du parlement de Québec, le député de Rousseau, M. François Legault, écrivait en 2005 qu'après les cinq premières années d'un Québec souverain que celui-ci dégagerait un profit de $17 milliards après avoir payé la part de la dette fédérale et le rachat de tous les actifs fédéraux en sol québécois.

Si nous prenons comme exemple, le fédéral a remboursé plus de $90 milliards sur sa dette depuis 10 ans et que nous formons le quart de la population, cela équivaut à $22.5 milliards sur 10 ans, à raison de $2.25 milliards par année. En se basant sur le rapport du député de Rousseau, ça serait $11.25 milliards à ajouter à son $17 milliards pour un total de $28.25 milliards.

Voici ce que le CD Howe Institute des États-Unis d'Amérique écrivait lors du référendum sur la souveraineté du Québec en 1995: Pas de dettes venant de l'extérieur du Québec aux Québécois et Québécoises, en vertu du droit international qu'un Québec souverain n'a pas d'obligation légale d'assumer une quelconque dette fédérale et ainsi deviendrait propriétaire de tous les actifs présents fédéraux sur son territoire et sans compensation. (Charte des Nations-Unies représentant 6 milliards de personnes et plus de 200 pays. (Adresse Internet: www.un.org/french).

Avec ce montant de $28.25 milliards, ce projet mentionné et bien d'autres sont plus que faisables, ils sont même réalisables.

 

train Nationalisons nos chemins de fer

Comme le gouvernement du Québec l'a fait pour son Hydro, nationalisons nos chemins de fer, notre sécurité l'exige.  

Un peu d'histoire

Dans les années 1880, un scandale ferroviaire éclata, comprenant les largesses du gouvernement fédéral au détriment de notre sécurité et nos avoirs.

En 1932, lors de la création du train CN, Ottawa achetait des trains dans le Manitoba, la Saskatchewan et l'Alberta et Ottawa divisa le coût de son acquisition au pro rata des populations incluant celle du Québec. Cette dernière a payé la majorité de ce chemin de fer, soit plus $58 millions et plus de $11.8 millions pour les trois régions, car celle-ci était cinq fois plus peuplée que les trois régions réunies et Québec ne l'avait pas construit.

Vu que le fédéral préconise l'argent avant notre sécurité, l'aide venant du fédéral se fait attendre tout comme pour la tempête du verglas de 1998 qui a ravagé une partie du sud du Québec et qui a privé de courant plusieurs milliers de québécois et qui a occasionné une facture immédiate aux québécois.  Le fédéral avec l'accord du gouvernement libéral du Québec vers 2005, payait sa facture sans les intérêts.  L'inondation de Venise en Québec et tout au longs de la rivière Richelieu, le fédéral a envoyé l'armée après plusieurs semaines de demande d'aide.  Un soupir de soulagement de la part des sinistrés qui s'est vite tourné en découragement, la facture du fédéral n'est toujours pas acquittée; un autre désastre nous attend: le pont Champlain.  Faisons en sorte que les victimes de la catastrophe du lac Mégantic ne soient pas laissées pour contre.

Le Canada, colonie britannique, représenté par sa capitale Ottawa, fait partie de l'association du Commonwealth propriété de l'Angleterre. Cette dernière impose des redevances en pourcentage sur: permis de pêche, permis de chasse, exploitation minière, hydrocarbure, Hydro Québec, papetière, tourbière, etc., pour avoir exploité les terres de la Couronne Britannique; ceci à toutes ses colonies: Canada, Australie, Jamaïque, pour en nommer que quelques unes.

Le Canada tant qu'à lui détient des juridictions. Au Québec les ponts qui enjambent le fleuve St-Laurent, le port de Montréal, certains quais, les Plaines d'Abraham, la voie maritime du St-Laurent, le lac Champlain les chemins de fer et j'en passe; sont de juridiction fédérale.

Avec ces juridictions le fédéral contrôle tout ce qui est important dans la colonie (Canada), même la sécurité de ses sujets: le pont Champlain, le Québec devrait le faire construire au plus tôt à sa manière, à ses termes, à ses frais. Le fédéral détient de l'argent des québécois, il dit qu'il va défrayer un pourcentage du coût, advenant que dans un délai respectable, pas plus d'un an après sa réouverture que 100% de cette somme soit injecté par Québec dans le système de santé.

Le pire c'est que l'Angleterre a le droit de vie ou de mort sur ses sujets dans ses colonies et le Québec, dans le Canada, n'y échappe pas. On se rappellera du vote contre la participation à la guerre de 1914-18 et le refus de la conscription de 1939-45 qui a mené en prison le maire de Montréal.

Solution

Nationalisons nos trains et que le tout soit totalement sous la juridiction du ministère des transports du Québec, louons nos chemins de fer aux compagnies (CN, CP, etc.), sécurisons nos voies ferrées et faisons nos propres règlements.

Pour mettre un frein définitif au gaspillage de temps et d'énergie, au saupoudrage de notre argent que nous avons envoyé au fédéral, soit plus de $45 milliards en impôts et que nous l'avons laissé se servir allègrement dans nos poches, pour plus de $35 milliards en ponts d'impôts annuellement, nous endetter, faire les choux gras des autres régions du Canada, car il détient des juridictions sur tout. La solution finale serait un vote dans notre Assemblée Nationale pour que le Québec devienne un pays et que ses représentants fassent le serment de fidélité au peuple québécois.

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